Miracles pour aider les Chrétiens à lutter contre les Infidèles.

Lors du siège de Constantinople par des païens, Santa Maria intervient, avec plusieurs Saints, pour étendre son manteau devant le mur de la cité éventré par les tirs de trébuchet, afin de détourner les projectiles. Voyant cela, le chef de l’armée païenne entre dans la cité et se convertit au Christianisme (CSM 28).

 

Dans la même cité, les assiégés jettent dans la mer son image "peinte par Saint Luc d'après nature", ce qui fait couler la flotte de bateaux maures qui entouraient la ville (CSM 264).

 

La Vierge protège la cité chrétienne de Tartous, en Syrie, lors de l'attaque par l'armée du sultan (CSM 165).

 

A Azemour, Santa Maria aide des marins portugais, qui, après avoir repoussé une attaque des Maures, sont restés bloqués trois mois dans le lit d'une rivière à cause du manque de vent (CSM 271).

Le roi Alphonse X s'est ruiné pour mener la guerre aux Maures afin de reprendre l'Andalousie lors de la Reconquista. Santa Maria, dans la CSM 348, lui indique l'emplacement d'un trésor caché par des hérétiques, trésor qui lui permet de renflouer ses caisses et de poursuivre son combat contre les Infidèles.

 

En Andalousie, le seigneur chrétien d'un château se fait berner par un seigneur Maure, qui lance son armée contre l'édifice après l'avoir capturé. Les défenseurs amènent une statue de la Vierge sur les remparts, ce qui fait fuir les assaillants et leur assure la victoire (CSM 185).

 

A Séville, Santa Maria apparaît dans un rêve au roi Alphonse X. Il la voit entrain de sortir de l'église incendiée de Jérez, portant l'enfant Jésus dans ses bras, ce qui permet au Souverain de savoir que la ville subissait une attaque des Maures. Quelques jours plus tard il libère la ville avec son armée (CSM 345).

 

Plus rare, Marie peut intervenir pour éviter la bataille : à Tudia, elle fait en sorte qu'une troupe de chevaliers chrétiens bivouaque d'un côté de l'église tandis qu'une troupe de soldats musulmans campe de l'autre côté, sans qu'ils ne se voient. A l'aube, quand ils s’aperçoivent enfin, ils reconnaissent le miracle et partent en paix (CSM 344).

Santa Maria joue les médiatrices entre les Chrétiens et les Maures en leur faisant trouver un compromis quand ils ne sont pas d'accords pour donner un nom à une cité côtière d'Andalousie fondée par Alphonse X, qui va être baptisée Santa Maria do Porto (CSM 238).