Miracles pour récompenser des fidèles qui louent Santa Maria.
Un moine récite quotidiennement les cinq mêmes hymnes car leurs premières lettres forment le nom de Maria. Quand il meurt un bouquet avec cinq roses pousse dans sa bouche (CSM 56).
Dans la CSM 75, une homme riche et une femme pauvre mais fidèle à Santa Maria sont sur le point de rendre l'âme. Le curé de la paroisse, espérant recevoir de l'argent pour son église, se rend uniquement dans la maison de l'homme riche. La Vierge permet à la femme d'obtenir les derniers sacrements tandis que des démons s'emparent de l'âme de l'homme riche.
En Bretagne, un jeune homme et une jeune femme ont grandi ensemble et ont juré de se marier, au nom de la Vierge. Leurs parents ne respectent pas ce vœu et les séparent. Santa Maria intervient pour qu'ils puissent s'unir (CSM 135).
A Morela, Santa Maria épargne de la grêle la parcelle de vigne d'un paysan qui lui est dévoué tandis que toutes les parcelles autour sont détruites (CSM 161). En Andalousie une terrible sécheresse frappe les habitants de Jérez. Suite au sermon d'un moine franciscain, le peuple confesse ses pêchés et frappe la terre en priant la Vierge. Une pluie abondante se met à tomber (CSM 143).
Les Maures attaquent un groupe de Chrétiens. Parmi eux, un homme a respecté le jeûne, alors que ses compagnons ont mangé de la viande. Ces derniers sont tués lors de l'attaque, des morceaux de viande sortent de leurs blessures, tandis que le premier en sort indemne (CSM 277).
Une mendiante ne possède qu'un certificat d'absolution que lui a rédigé un prêtre après sa confession. Elle demande l'aumône à un usurier, qui lui dit pour se moquer qu'il lui donnera le poids d'argent que pèse le document. Quand il pose le certificat sur un plateau de la balance, même deux bourses remplies de pièces d'or et d'argent ne font pas le poids. Il donne assez d'argent pour vivre à la mendiante (CSM 305).
A Séville, la Vierge vient en aide à Alphonse X, en faisant apparaître sur un canal quatre barques chargées de poissons à ses intendants qui cherchaient désespérément du poisson pour nourrir le grand conseil qu'Alphonse a réuni suite à la prise de Grenade (CSM 386).
Elle apparaît à un moine de Canterbury, entourée de Saints et de Vierges, pour l'inciter à continuer à la servir comme il le fait afin que son âme aille au paradis (CSM 288).
A Turin, le trésorier d'un monastère renverse du vin de messe à Noël sur une chasuble richement brodée qu'il a posée sur l'autel. Il a peur de la réaction des autres frères, la Vierge intervient et nettoie le vêtement liturgique.
Un noble chevalier aragonais perd son épervier auquel il tenait beaucoup. Il va à Salas pour prier, avec un épervier en cire comme don. En sortant de la messe, l'oiseau se pose sur sa main (CSM 44).
Lors de la fête de la Vierge en août à Arconada, Santa Maria réapprovisionne le banquet en vin quand les tonneaux sont vides (CSM 351).
L'archidiacre de l'église Saint Victor de Paris compose une hymne à Santa Maria. Il ne parvient pas à trouver un vers de 7 pieds qui rime en "ium". Désespéré, il s'endort devant l'autel et la Vierge lui souffle dans son sommeil "nobile triclinium". A son réveil il termine son hymne et la chante devant la statue de Santa Maria, qui se penche pour lui murmurer "merci pour cette chanson" (CSM 202).
La Vierge donne la force à trois petits enfants de soulever des blocs de marbre destinés à construire une église, blocs que tous les ouvriers du chantier ne parviennent même pas à faire bouger (CSM 231).
Un moine se repose dans un cloître, à côté d'une fontaine, il écoute le chant d'un oiseau. Quand l'oiseau cesse de chanter, 300 ans se sont écoulés (CSM 103).