
Miracles pour inciter des fidèles à mieux se comporter.
Une femme de Gascogne refuse de faire le pèlerinage à Rocamadour. Elle dit à sa servante qu'elle n'ira au sanctuaire que si sa chaise la porte jusque là. La chaise se soulève du sol et l'emmène jusqu'à Rocamadour, où elle se pose devant l'autel (CSM 153).
Un ménestrel blasphème régulièrement Dieu et la Vierge. Comme il refuse de faire pénitence, il est saisi par un démon qui emporte son âme en enfer (CSM 238).
Un marin de Laredo dénigre les fidèles qui se rendent à l'église, en disant qu'il préfère aller à la taverne. Après y avoir bu du vin, son ventre se met à gonfler énormément, jusqu'à ce qu'il se rende à l'église pour se repentir (CSM 244).
Dans la CSM 283, un prêtre interdit aux fidèles de se rendre au sanctuaire de Terena, les menaçant d'excommunication. Ses membres se paralysent, sa bouche se tord, il ne peut plus parler mais seulement bêler jusqu'à ce qu'il se repente.
Un paysan moissonne un jour saint, Santa Maria le punit en faisant en sorte qu'il ne puisse plus lâcher ni la faucille ni la gerbe de blé qu'il tient dans ses mains, jusqu'à ce qu'il demande pardon (CSM 289).
Une religieuse de l'abbaye de Fontevraud, très dévouée à la Vierge, projette de s'enfuir avec un beau chevalier. Quand elle va dire au revoir à la statue de la Vierge et au crucifix de la chapelle, la statue se met à pleurer, le Christ libère une main et la frappe au visage, la marquant au visage. Elle renonce à son projet et reste au couvent (CSM 59).
Un prêtre rejoint sa maîtresse dans sa chambre. Santa Maria fait se lever le vent pour que les volets s'ouvrent afin qu'il aperçoive le clocher de l'église et que cela le coupe dans sa lubricité (CSM 151).
Dans la CSM 21, la Vierge apparaît à Elvas pour empêcher une jeune femme de tuer son nouveau né pour pouvoir continuer la vie dissolue qu'elle mène.